La science qui étudie les nombres est appelée mathématique. Entre les nombres, il existe différentes formes d’interaction. La mathématique étudie également ces interactions. Elle fait partie de ce qu’on qualifie de science abstraite. Cette qualification est issue du fait qu’elle est fondée sur des théories qu’un comité admet comme une vérité. Afin de comprendre la notion de translation, il est important de connaître l’histoire de la mathématique et ses applications. Le principe de base de la translation sera ensuite expliqué pour enfin terminer sur des méthodes utilisées pour réussir les exercices à ce sujet.
Petite histoire de la mathématique
C’est de la langue latine qu’est obtenu le mot mathematique. Nos ancêtres l’ont déjà utilisé depuis longtemps. Afin de comptabiliser leurs biens, les gens de l’époque antique ont eu recours à des bâtons. Après la civilisation, la mathématique a été de plus en plus sollicitée dans la gestion des travaux. Tous les autres domaines scientifiques ont recours à la mathématique que ce soit la science physique, l’informatique, la biologie, la géologie, la comptabilité ou bien d’autres domaines. Un des mathématiciens le plus célèbres et considéré comme fondateur de la mathématique est un Grec dénommé Thalès de Milet. Cette personne a émis un théorème appelé théorème de Thalès. Ce dernier concerne les propriétés relatives au parallélisme dans un triangle. À part Thalès, il existe également un autre théoricien appelé Pythagore. Pythagore est aussi considéré comme un mathématicien très célèbre. Ce scientifique a émis quant à lui le théorème de Pythagore. Un théorème visant à pouvoir calculer les côtés d’un triangle rectangle. En ce qui concerne la géométrie, Euclide en est le fondateur. Pour mieux comprendre la translation maths, suivre des cours est souvent utile.
Quelles sont les subdivisions de la mathématique ?
Étant donné que ce domaine englobe plusieurs activités de recherche, il est préférable d’écrire mathématiques. Le mot prend donc la forme plurielle. L’arithmétique, l’algèbre, l’analyse, la géométrie ainsi que la logique sont les cinq éléments constitutifs des mathématiques. À part ces cinq éléments, on peut aussi subdiviser la matière en mathématiques pures et en mathématiques appliquées. Quand il s’agit des nombres et des opérations reliant ces nombres, on parle d’arithmétique. Dans ce cas, on prend les nombres, on les additionne, les soustrait, les divise ou les multiplie. Quand il s’agit de l’utilisation de ces opérations dans la résolution d’équation (monomiale ou polynomiale), on parle d’algèbre. Quand il s’agit d’étudier le sens de variation d’une équation dans une algèbre, ses limites et ses dérivées en utilisant ou non les nombres complexes, on parle d’analyse mathématique. Quand il s’agit de l’étude des images et des figures, on parle de géométrie. Enfin, il y a la logique mathématique. Cette branche est sans doute la plus récente de la mathématique. La logique mathématique se base sur la capacité de raisonnement.
La translation
Ce sont les Babyloniens et les Égyptiens qui ont eu la première idée d’exploiter la géométrie. Afin de connaître la surface d’un endroit ou afin de pouvoir diviser correctement, les Babyloniens et Égyptiens ont mis en place la géométrie. Cette utilisation a connu une énorme évolution dès que Thalès de Milet a sorti son théorème. En effet, Thalès de Milet a voulu connaître la hauteur d’une pyramide. C’est dans ce contexte qu’il a mis en place le fameux théorème. En général, la géométrie fait partie des matières obligatoires lors d’un cursus en secondaire. La translation est comprise dans la géométrie. Pour résumer, la translation est le fait de créer une image à une figure initiale. Cette dernière peut s’agir d’un point, d’une droite ou d’une figure proprement dite. Quand on effectue une translation, on obtient un point comme image d’un point. On obtient une droite comme image d’une droite et une figure comme image d’une figure. Avant de procéder à une translation, il est important de connaître la direction du déplacement, le sens et éventuellement la distance. L’image et la figure initiale doit ressembler dans tous les aspects. Homologue est le nom attribué aux points qui occupent la même position dans une figure lors d’une translation. Pour pouvoir distinguer l’image de la source, on lui attribue une apostrophe.
Réussir une translation
Pratiquer plusieurs exercices est l’option la plus rapide pour réussir une translation correctement. Dans les écoles, les cours théoriques sont souvent accompagnés par des exercices. Utiliser internet pour suivre des cours en ligne s’avère aussi très intéressant pour mieux comprendre le fonctionnement de la translation maths. Les cours de mathématiques en ligne sont bien sûr très riches en exercices corrigés notamment en translation. Mais avant de voir les réponses consultables en ligne, il faut faire de son mieux pour bien répondre à tous les questionnaires des exercices. Pour appuyer les cours en ligne, il faut aussi solliciter des aides et explications des professeurs et des parents. De ce fait, la réussite sera garantie. Outre les cours en ligne, il existe également ce qu’on appelle les cours particuliers. Cela consiste à engager un professeur individuel à domicile et à étudier pendant minimum 2 heures toutes les semaines. Pour mieux réussir son exercice de translation, il faut toujours se mettre en tête, lors d’un exercice, que la formation d’un parallélogramme est la base. Cette formation s’obtient grâce aux points de la figure et aux points de l’image. Néanmoins, il faut toujours commencer par des exercices plus faciles. Enfin, quand on a une certaine maîtrise, on s’attaque aux plus difficiles et ainsi de suite.